Travailler en archives, ça enseigne la tolérance.
Aujourd’hui, sur les six autres personnes présentes avec moi dans les 250m2 de la section manuscrits et livres rares, un mec acneique et bourré de tocs fait des carrés en marchant, très “dansons le Madison” dans sa tête, pendant que mon voisin de table vient de péter pour la 3e fois, me réveillant au passage.
Indiana Jones me paraît tellement, tellement loin…
Virgoblog 
hahahaha !!!! Ah les tarés des archives, toute une poésie !! Moi quand j’y allais régulièrementt il y a quelques mois je savais exactement où et à quelle heure ne pas m’asseoir pour ne pas être à côté du vieux schnock qui passe ses trois heures à engueuler son microfilm (ou ses feuilles, enfin j’ai jamais vraiment compris), en grommelant tel un authentique taré des archives …
Ceci dit je crois que Ben Stiller pourrait nous emballer tout ça pour faire un film assez comique, mais bon c’est pas forcément à ce genre de film qu’on voudrait que notre vie ressemble, évidemment …
ahahahahah!!!!
tu vas finir par développer tes propres tocs toi aussi…
allez raconte, jsuis sure que tu fais déjà des trucs un peu bizarres de manière régulière et inconsciente
vasi vasi
Nyfette: Je m’endors (micro-endormissements de 2 min)!! Je suis une narcoleptique de l’archive!
ahahah ça c’est pas un toc, c’est le comportement logique d’un être normal lorsqu’il plongé dans le milieu hostile de l’archive/bibliothèque – surtout en période hivernale où et la nécessité de conserver la résistance du corps par le sommeil et le surchauffage fréquent des bibliothèques induit nécessairement des assoupissements ou des impressions de coton dans les yeux Fatals
est ce que ça te fait regretter le cocon douillet de la BNF ?
malheureux, je n’ai mis les pieds qu’une fois à la bnf l’an dernier (et encore ce fut un échec cuisant: oubli de portefeuille là-bas, angoisse, détresse, plein de choses négatives liées à ce lieu)