(ce titre, comme un big up à tous les blogs de gonzesses, grâce auxquels je bosse un peu moins efficacement chaque jour – quand c’est pas à cause de Wikipédia)
Les plus belles histoires sont les plus passionnelles, il paraît (les autres sont chiantes). Exemple: Henry VIII et Anne Boleyn. Nan parce que la saison 3, on risque de bien se faire chier, si t’as les mêmes loisirs télévisuels que moi. Du reste, je sens bien la crise obsessionnelle poindre le bout de son nez avec les Tudors, mais il y a un tort à redresser (suite au prochain post). Autre exemple: moi.
Il y a quelques mois, je détestais ma banque. Vu qu’elle menaçait de fermer mon compte à coups de découvert de 10M$, j’en déduis qu’elle me le rendait bien.
Hier, elle me prenait des sous, aujourd’hui elle m’offre $100. J’ai gagné à la loterie. Et pour bien faire les choses, c’est tout crédité sur une carte à durée de vie limitée. De la consommation pure. Pas de placement, juste du shopping.
Après ça, faudra qu’on m’explique l’enfer bancaire que vit les 2/3 de la blogofille, incarnée par une figure de néo-usurier médiéval (a.k.a. le “conseillébancaire”): ma banque et moi, on vit d’amour et d’eau fraîche.
(non mon histoire avec ma banque est pas chiante)